- Obtenir le lien
- X
- Autres applications
🎓 La Toujours Jeune : un chef-d’œuvre intemporel des échecs (1852)
En 1852, à Berlin, Adolf Anderssen affronte Jean Dufresne dans une partie d’échecs restée célèbre sous le nom de La Toujours Jeune (The Evergreen Game). Ce n’est pas un duel de tournoi officiel, mais une partie amicale - pourtant, elle deviendra l’une des plus admirées de l’histoire du jeu.
Anderssen, considéré comme l’un des plus grands joueurs du XIXe siècle, choisit une ouverture audacieuse : le Gambit Evans, sacrifiant un pion dès les premiers coups pour gagner du temps et prendre l’initiative.
La partie prend vite un tour spectaculaire. Anderssen sacrifie un fou, puis une tour, puis même une autre tour… et finalement conclut avec un mat d’école en 24 coups.
Ce style flamboyant, typique du romantisme échiquéen, privilégie l’attaque directe, la beauté du jeu, et l’audace tactique, bien plus que le simple gain matériel. La Toujours Jeune illustre à merveille cette approche, où l’art rencontre la stratégie.
170 ans plus tard, cette partie continue de fasciner amateurs comme professionnels. Elle rappelle que les échecs ne sont pas qu’un affrontement de calculs, mais aussi un langage de beauté, de prise de risque et de créativité.
♟️ La beauté aux échecs n’est pas qu’une victoire. C’est un geste, un style, une vision.
👉 Si vous aimez ce type de contenu, likez, commentez ou partagez !
#Echecs #HistoireDesEchecs #LaToujoursJeune
Commentaires
Enregistrer un commentaire